des talents, moi ?

Bon bah moi jsais pas vraiment si j'ai des talents mais je vais quand même essayer avec... la poésie !

Voilà ce que j'ai écrit il y a cinq minutes :

Maman,

J'écris ce poème pour toi
Qui depuis toujours est derrière moi
M'accompagnant discrètement de ta douce voix
Depuis le jour où tu m'as su au fond de toi

Toi qui ne m'a pas abandonnée
Au cours de mes trois premières années
Scellant pour l'éternité notre complicité
Existante depuis que tu m'as portée

Excuse-moi si j'ai osé te tromper
Heureusement que tu m'as pardonnée
Sinon je m'en voudrais à jamais

Tu connais les épreuves que j'ai eu à subir
A chaque moi tu as su me soutenir
Afin de m'empêcher de souffrir

Et c'est pour tout cela que je t'aime...

Voili voilou
Qu'en pensez-vous ?

te connaissant un peu je trouve ca tres beau et tres reel

bah sur ce sujet j'avoue que tu ne me connais aps qu'un peu car il y a très peu de monde qui comprendrait à quoi je fais allusion.

un poème que j'ai écrit il ya longtemps

Pourquoi m’as tu fait ça
Pourquoi ne te vois-je pas
Tu n’es plus là et voilà
Personne ne t’en voudra

Sauf moi ceux qui savent qui sauront
Mais qui jamais ne te reconnaîtrons
Je ne veux pas que tu ailles en prison
Ce n’est pas de ta faute si tu es con

C’est vrai que tu es parti loin
Et que j’ai quatorze ans et toi vingt-et-un
Je me dis qu’à mon âge tu étais un gamin
Je voudrais tout oublier enfin

Mais est-ce que tu comprenais
Au moins ce que tu faisais
Sais-tu que tu m’as humiliée
Ou alors faut-il t’expliquer

La pluie tombe sur mes joues mais tu m’as souillée
Pour toujours je t’en voudrais
Car jamais je ne t’ai aimé
Malheureusement à cinq ans on n’est pas avisée

Si je pouvais revoir ton visage
Sois sûr que j’en ferais un gribouillage
Et quoi qu’on me dise de ce carnage
Envers toi je ne serai plus cette sage image

Tu ne pensais pas à ce que tu faisais de ma vie
Pour toi c’était sûrement l’extase le paradis
En quatorze ans tu n’avais pas grandi
Je pleure à ce souvenir mais je ris

Sûrement car aujourd’hui
J’ai compris tout ce que je dis
J’ai aussi le soutien de mes amis
Je ne te vois plus à Marseille tu es parti

De toutes façons tu n’as pas de remords
Ce n’est pas toi que le ressentiment mord
Pour moi ta peur vaut plus que de l’or
Afin que le remord te dévore

Des fois il me semble que tu m’es indifférent
C’est ce que je dis de plus en plus en le pensant
Cette pluie sur mes joues sera balayée par le vent
Tu me fais rigoler arrête de te prendre pour un grand

C’est pour cela que j’ai écrit ce poème sans humour
Pour te dire que je t’en voudrais toujours toujours

un tit délire qu'on viens de se taper avec ma soeur

poémage

J’adore le fromage
Qui vole dans les nuages
Tandis que je parcours ces pages
Qui me font l’effet d’un gribouillage
Dans le ciel un massage
Perdu au milieu d’un orage
Qui se tient debout près d’un garage
Et qui s’écrie : « Quel est ce vieil adage ? »
Il avait à l’épaule un tatouage
Qui représentait un poulet en cage
Le modèle piaillait de rage
Car il venait de s’apercevoir qu’il prenait de l’âge
Et qu’on lui faisait du chantage
Il décida donc d’assister à l’amarrage
Qui se déroulait dans un bocage
Situé au beau milieu d’un marécage
Constitué d’une multitude d’images
Qui s’écriaient dans ce carnage
Avec énormément de courage
Je le jure moi je suis sage
Maintenant retournons à la plage
Revenons-en à notre élevage
Habité par des coquillages
Qui procédaient ensemble au grand lavage
Comme chaque année de leur visage
Avant de refaire leur maquillage
Et de repartir à la nage
Tel est à toutes leur gage
Mais il n’y a qu’elles que cela engage
Tout cela pour une différence de langage
Qui n’était pas prévu dans mes bagages
Et voilà maintenant le ciel se dégage
Et j’aperçois un naufrage
Il m’envoie un signal en codage
Ainsi je fais un barrage
Qui traîne dans les parages
Nous sommes revenus dans notre pâturage
Qui a bien besoin de ménage
C’est vraiment un pauvre paysage
Avec pour unique décor un village
A mon goût trop sauvage
Ils ne connaissent pas encore le sevrage
Il manque quelque chose dans mon ouvrage
A mon avis ce sont quelques rouages
Je suis prise en otage
Entre deux braconnages
Qui font du repassage
Dans le seul passage
Je vais faire un abattage
De tout notre maudit collage
Ainsi qu’un nettoyage
De notre ravage
Que sont ces rimes en ages
Qui sont la cause de notre claquage
Cette histoire s’achève à Bages
Mais n’en faisons pas pour autant un fromage

Voilà ma réponse pour toi :

La première fois que j’ai lu
Quelques mots écrits par toi
Et bien tu sais j’ai su
Que ceux-ci tapés sous tes doigts
Seraient les frères de ces mots
Qui m’aideraient à m’en sortir
Qui m’aideraient à guérir mes maux
Qui m’aideraient à ne plus souffrir
Je ne sais pas ce qui me poussaient
A vouloir en savoir plus sur toi
Mais un grand intérêt
A n’en pas douter grandissait en moi
Enfin j’ai affronté ma timidité
Ainsi que tous ses tourments
Afin de pouvoir te parler
Et m’assurer de mon pressentiment
Mais tout ce que j’imaginais
Etait si loin de la réalité
Car ce que je n’avais dévoilé
Est venu sur mon écran s’apposer
Je suis étonnée de voir notre ressemblance
Grâce à qui est née ma confiance
Lorsque tu parles j’ai une curieuse impression
Je crois parfois que tu lis dans mes pensées
Alors que nos cœurs regardent dans la même direction
Pour cela je crois avoir trouvé
Celui avec qui je peux évoquer mes souvenirs
En toute confiance avec le sourire
J’espère pouvoir tout te dire
…Et sache que si tu as besoin de moi j’essaierai d’être là pour toi… tu vas me manquer

:'( tu va mfaire pleurer
ten fait po ca va passer vite , j'espere .

bah ouais mais toi aussi t'as failli me faire pleurer...
j'espère bien que ça va passer vite sinon jvais déprimer....

encore mais non faut pas profite de la vie ( meme si elle est pas tjrs superbe mais bon)

non je déconnais, ce que j'ai fait c'est pas une véritable déprime mais jveux plus jamais passer par là !!! Dire qu'en plus cette année là la seule chose que je voulais c'était redoubler mdr mais le conseil de classe était pas trop d'accord...

Barbara

Ma chère Barbara
Je t’en prie ne me quitte pas
Ne fuis pas la vie
Combats cette maladie
Qu’est la dépression
Qui t’enchaîne la raison
Fais cela pour moi
Redeviens la véritable toi
La vie ta mère seul a pu te l’offrir
Seul le temps doit te la ravir
Ne recommence pas tes bêtises
Ne fais pas cela par crise
Tu es née pour vivre
C’est pour cela que tu dois suivre
Le cours de ta vie
Bats-toi pour tes envies
Exceptée celle-ci
Celle qui te détruit
Le désir de la mort
A quinze ans déjà si fort
Rappelle-toi celle que nous étions
Petites nous nous admirions
Ce monde qui nous entoure est dur
Mais je suis sûre
Que tu peux redevenir joyeuse
Afin que ta famille redevienne heureuse

Meilleures amies d’enfance

Il y a huit ans
Cela fait si longtemps
Tu es arrivée dans ma vie
Tu es devenue mon amie
Le temps nous a liées
Malgré celles qui s’y opposaient
On ne change pas son destin
Je t’aimerai jusqu’à la fin
Malgré tout ce que tu m’as fait
Et ces mensonges que tu as proférés
Mais j’ai appris à t’apprécier
En distinguant le faux du vrai
J’ai trop de choses à te reprocher
Comme cette fois où tu m’as abandonnée
Je t’ai toujours donnée ma fidèle amitié
Alors ne me cache plus la vérité
Je continuerai à t’adorer
Malgré ta lâcheté

Steven

Sans toi nous nous sommes senties abandonnées
Ta vie a été de trop courte durée
Et jamais nous ne pourrons t’oublier
Venu au monde pour six ans seulement
Et reparti sans nous malheureusement
Nous laissant ici avec nos tourments

Hier, Marianne m’a demandé si les gens qui mourraient devenaient des étoiles, je n’y crois pas, mais ce que je sais, c’est que depuis cinq ans, tu brilles tel une étoile dans nos deux cœurs.

Ma soeur a pleuré en lisant ce poème...

steven c'est le petit dont tu ma parler??

oui... heureusement, j'en ai pas connu deux dans ce cas...